Les symptômes et signes cliniques relevés ont été recueillis en phase de soin. Ils sont constitutifs d'un syndrome que j'ai nommé "Poséidon" et sur lequel nous pourrions, si cette démarche est validée, communiquer, sensibiliser, prévenir.
Cette étude a pour objet de dénoncer un phénomène subversif issu d'une structure familiale (ou de substitution), responsable de ce que les travaux de Jacques Roques nomment en référence "un empoisonnement psychique".
Ce syndrome d'emprise révèle l'expression d'une manipulation tyrannique et narcissique, exercée année après année sur le jeune enfant, compromettant son développement psychique, pouvant mener à la mort sociale. Ce syndrome dépeint un processus d'attachement morbide, caractérisé par une incapacité à fonctionner de façon autonome.
Fréquemment et insidieusement exposé à ces situations perturbantes, le jeune individu, captif d'un système qui s'auto-légitime par un discours socialement acceptable, ne peut briser seuls les liens puissants de soumission.
Le syndrome de Poséidon crie la captivité de l'être, sa terrible incapacité à exister par lui même et pour lui même. Les principes moteurs et les effets pervers font l'objet de cette étude. Différentes techniques de soins ont été explorées telles que l'hypnose ou la thérapie d'impact qui s'avèrent probantes et mériteraient d'être structurées collectivement.
Coordonnées de Frédérique LEVI-CHARDEAU sur www.integration-mouvements-oculaires.com