D’ailleurs, je m’accommode bien du fait que plusieurs me reprochent de ne pas vraiment croire à l’hypnose. C’est connu.
Par exemple, ici j’utilise le mot hypnose 2.0 (en miroir avec le Web 2.0) pour faire image et sonner le glas de l’hypnose classique comme nous l’avons connue et pratiquée jusqu’à ce jour.
L’hypnose 2.0 permet donc plus de simplicité d’utilisation se soustrayant aux connaissances techniques qui ne sont pas indispensables pour les utilisateurs, transcendant la complexification interne inhérente à l’indéfrichable identité de l’hypnose quoique je propose une définition originale sur la question.
À l’horizon se pointe l’hypnose dissipative en contraste d’une hypnose conservative c’est-à-dire une hypnose qui crée sa propre synergie, ne requérant à la limite aucune induction. Et si cette « darwinisation » de l’hypnose nous en révélait sa rhétorique et ses assises. Nous voilà arrivés dans le vestibule du mystère de l’hypnose.
Cet atelier devra impérativement réunir uniquement les gens qui déposeront à la porte toutes leurs idées préconçues, leurs croyances dites scientifiques, qu’on appelle parfois rationalité, et se mettre en mode de vivre le moment présent sans aucune anticipation ou préjugé.
Moment historique peut-être…
Cela dépendra en grande partie de la créativité de l’auditoire !