Le « Larousse » définit ainsi la « communication » : Action de communiquer avec quelqu’un, d’être en rapport avec autrui, en général par le langage ; échange verbal entre un locuteur et un interlocuteur dont il sollicite une réponse.
Mais, pour communiquer, il faut être au moins deux… Et vous allez me dire : « deux en capacité de communiquer or, souvent, ces patients ne sont pas en capacité de communiquer ».
Certains patients, particulièrement anxieux, comme enfermés dans leur bulle de protection nous sont inaccessibles directement par « la parole raisonnable ».
Nous savons par ailleurs que les mots ne sont qu’une petite partie des vecteurs de cette communication, thérapeutique ou non (La roue de la communication, Albert Mehrabian 1967) :
• Verbal 7 %
• Para-verbal 28 %
• Non Verbal 55 %
Pour d’autres patients, s’il est très difficile de fixer leur attention par un simple discours, il peut être possible de capter leur attention en faisant participer une tierce personne « rassurante » dans ce qui devient une sorte de jeu. Et si associer un parent « rassurant et fiable » à la séance favorisait l’induction chez le patient phobique, jeune ou moins jeune, ou chez l’enfant diagnostiqué comme TADH.
3 vidéos de cas cliniques illustreront cette présentation.
Exercice Démonstration
• Tester la résistance des bras.
• Test d’attirance.
• Une technique d’induction rapide.
Objectifs
• L’alliance thérapeutique.
• Rôle facilitateur de la famille.
• Le jeu ? Une solution pour une induction joyeuse.
Liste des Mots-clés :
Anxiété, Communication, Dentaire, Vidéo, Hypnose conversationnelle