Psychologue de formation, je dirige un centre psycho médical traitant les problématiques du stress chronique et traumatique, et j’ai été amenée à devoir intervenir rapidement sur les états de choc, les troubles neurovégétatifs et la douleur intense.La relation corps/mental m’a toujours parue évidente ; les troubles psychosomatiques jalonnant ma pratique, je me suis donc très vite orientée vers une approche psychocorporelle. Je suis aussi devenue rapidement une fervente adepte de la stratégie éricksonienne et de l’incroyable efficacité de l’état hypnotique. C’est, à mon sens, une véritable facilitation pour le praticien et une merveilleuse ouverture à des ressources méconnues pour le patient.
J’ai développé une approche technique pour lutter contre le dérèglement neurovégétatif et les sensations de douleur. Cette technique permet d’apaiser le système nerveux central et de travailler directement sur la perception douloureuse. Avec le temps, la gestuelle est devenue simple et précise ; elle permet au sujet d’atteindre rapidement une position de confort et de neutralité sensitive. Cela se fait par un travail spécifique effectué au niveau des jonctions articulaires et de la posture du corps.
Celui-ci va influer sur la perception habituelle du positionnement corporel et changer par là des notions telles que l’espace et le temps. Nous sommes au croisement des influx sensori-moteur et sensitivo-émotif. La kinesthésie consciente est modifiée, le sujet peut plonger rapidement dans un état d’hypnose et modifier sa sensibilité somesthésique générale. Je vais enrichir cette sorte de détachement par un travail sur la respiration et grâce à lui, accéder à une forme d’euphorisation ; le patient pourra alors bénéficier d’une diminution de ses sensations de douleur.
J’ai développé une approche technique pour lutter contre le dérèglement neurovégétatif et les sensations de douleur. Cette technique permet d’apaiser le système nerveux central et de travailler directement sur la perception douloureuse. Avec le temps, la gestuelle est devenue simple et précise ; elle permet au sujet d’atteindre rapidement une position de confort et de neutralité sensitive. Cela se fait par un travail spécifique effectué au niveau des jonctions articulaires et de la posture du corps.
Celui-ci va influer sur la perception habituelle du positionnement corporel et changer par là des notions telles que l’espace et le temps. Nous sommes au croisement des influx sensori-moteur et sensitivo-émotif. La kinesthésie consciente est modifiée, le sujet peut plonger rapidement dans un état d’hypnose et modifier sa sensibilité somesthésique générale. Je vais enrichir cette sorte de détachement par un travail sur la respiration et grâce à lui, accéder à une forme d’euphorisation ; le patient pourra alors bénéficier d’une diminution de ses sensations de douleur.