Objectifs:
recentrer la pratique sur le processus relationnel définir un terme de remplacement.
Contenu:
L’hypnose aujourd’hui est perçue de façon très réductrice.
Une technique pour placer l’autre dans un état qui favorise l’assujettissement, une forme de démocratisation du pouvoir du sorcier.
Et ce pouvoir implicite est pris, comble du détournement du message Ericksonien, sous la proposition explicite de mobiliser les ressources individuelles.
On rencontre ce phénomène tant dans l’hypnose de foire que dans l’utilisation de l’hypnose médicale.
Cette posture se révèle par l’utilisation, de plus en plus fréquente, de l’expression faire des soins « sous hypnose ».
Le problème n’est plus de redonner au terme hypnose toute ses dimensions écologiques, processuelles et relationnelles.
C’est trop tard.
Plus nous avons fait connaître la dimension analgésique du processus hypnotique, plus nous avons installé, malgré nous, l’idée dominante de l’hypnose comme technique.
Les TCC d’Aaron Beck sont allées vers la méditation pour traiter la dimension émotionnelle des troubles et ça a lancé l’énorme vague « pleine conscience «.
Ce que nous appelons hypnose, est un processus relationnel libéré.
Relation de soi à la conscience de soi et du monde, de soi à l’autre dans une construction intersubjective du lien et de la valeur de l’expérience partagée, de soi à soi et de soi à son « hors-soi », tout ce qui est soi mais bien plus soi que ce qu’on croit être soi.
La liberté de libérer ce qui doit être libre en soi.
Quelle terme ou expression peut on créer, aujourd’hui, pour remplacer le mot hypnose et dire toute la liberté du processus créatif et constructif que cela recouvre ?
Mots clés:
hypnose, processus relationnel
recentrer la pratique sur le processus relationnel définir un terme de remplacement.
Contenu:
L’hypnose aujourd’hui est perçue de façon très réductrice.
Une technique pour placer l’autre dans un état qui favorise l’assujettissement, une forme de démocratisation du pouvoir du sorcier.
Et ce pouvoir implicite est pris, comble du détournement du message Ericksonien, sous la proposition explicite de mobiliser les ressources individuelles.
On rencontre ce phénomène tant dans l’hypnose de foire que dans l’utilisation de l’hypnose médicale.
Cette posture se révèle par l’utilisation, de plus en plus fréquente, de l’expression faire des soins « sous hypnose ».
Le problème n’est plus de redonner au terme hypnose toute ses dimensions écologiques, processuelles et relationnelles.
C’est trop tard.
Plus nous avons fait connaître la dimension analgésique du processus hypnotique, plus nous avons installé, malgré nous, l’idée dominante de l’hypnose comme technique.
Les TCC d’Aaron Beck sont allées vers la méditation pour traiter la dimension émotionnelle des troubles et ça a lancé l’énorme vague « pleine conscience «.
Ce que nous appelons hypnose, est un processus relationnel libéré.
Relation de soi à la conscience de soi et du monde, de soi à l’autre dans une construction intersubjective du lien et de la valeur de l’expérience partagée, de soi à soi et de soi à son « hors-soi », tout ce qui est soi mais bien plus soi que ce qu’on croit être soi.
La liberté de libérer ce qui doit être libre en soi.
Quelle terme ou expression peut on créer, aujourd’hui, pour remplacer le mot hypnose et dire toute la liberté du processus créatif et constructif que cela recouvre ?
Mots clés:
hypnose, processus relationnel