Globalement on peut dire que toute l’hypnose repose sur une forme de communication dite indirecte basée sur une approche naturaliste et utilisationelle qui justement utilise les propres comportements spontanés et naturels du sujet dans « l’ici et maintenant » pour centrer l’attention vers l’intérieur et faciliter progressivement le comportement de transe.
Chaque patient se présente avec son esprit conscient et son esprit inconscient et toute rencontre se fait simultanément avec ces deux entités.
Si je m’adresse à un sujet à un niveau conscient, je m’attends à ce qu’il m’écoute aussi à un niveau inconscient.
Le fait est que mener une thérapie avec l’hypnose représente plus qu’une simple conversation sur un seul niveau de communication purement objectif. Le contenu explicite d’un message ressemble au sommet de l’iceberg.
Le récepteur d’une communication indirecte ne prend habituellement pas conscience de l’étendue du message, par lequel tous ses processus associatifs et automatiques sont mobilisés dans différentes directions.
Une suggestion hypnotique de cette nature permet de mobiliser le répertoire personnel et unique « d’aptitudes et d’apprentissages » qui est en fait le matériau brut de la créativité hypnotique orientée vers un but thérapeutique.
Il est question ici de micro-dynamique de l’induction de la transe et de l’art de manier les suggestions.
La profondeur de la transe du patient ne me préoccupe pas vraiment, car une psychothérapie intensive et mobilisatrice peut se faire à divers degrés de transe.
Il importe seulement connaître la manière avec laquelle on parle avec le patient, pour obtenir des résultats thérapeutiques tangibles. Mon propos est d’illustrer cet apport de l’hypnose en médecine générale.
Chaque patient se présente avec son esprit conscient et son esprit inconscient et toute rencontre se fait simultanément avec ces deux entités.
Si je m’adresse à un sujet à un niveau conscient, je m’attends à ce qu’il m’écoute aussi à un niveau inconscient.
Le fait est que mener une thérapie avec l’hypnose représente plus qu’une simple conversation sur un seul niveau de communication purement objectif. Le contenu explicite d’un message ressemble au sommet de l’iceberg.
Le récepteur d’une communication indirecte ne prend habituellement pas conscience de l’étendue du message, par lequel tous ses processus associatifs et automatiques sont mobilisés dans différentes directions.
Une suggestion hypnotique de cette nature permet de mobiliser le répertoire personnel et unique « d’aptitudes et d’apprentissages » qui est en fait le matériau brut de la créativité hypnotique orientée vers un but thérapeutique.
Il est question ici de micro-dynamique de l’induction de la transe et de l’art de manier les suggestions.
La profondeur de la transe du patient ne me préoccupe pas vraiment, car une psychothérapie intensive et mobilisatrice peut se faire à divers degrés de transe.
Il importe seulement connaître la manière avec laquelle on parle avec le patient, pour obtenir des résultats thérapeutiques tangibles. Mon propos est d’illustrer cet apport de l’hypnose en médecine générale.
Etudes de médecine à Strasbourg.
Thèse de doctorat en médecine en 1980 sur la maladie de Kawasaki.
Formation en hypnose traditionnelle.
Formation en hypnose Ericksonnienne à l’institut Milton Erickson Méditerrannée de Toulon – Marseille auprès du Dr Meggle Dominique en 2000.
Formation en thérapie brève auprès du Dr Meggle de l’institut Milton Ericksonn Méditerrannée de Toulon – Marseille en 2004. Pratique l’hypnose Ericksonnienne en cabinet médical depuis 2002.
Communications : Intervenant au congrès de Sanary en 2003 ( médaille d’argent de la meilleure communication) Intervenant au congrès de Saint Malo en 2005.
Intervenant au congrès de Quiberon en 2008. Intervenant au congrès de Nantes en 2009.
A présenté « dissociation et neurosciences » au XVIIIème congrès international d’hypnose à Rome en 2009.
Enseignement : Enseigne l’hypnose Ericksonnienne au Groupement Lyonnais d’études médicales depuis 2002.
Participe à l’enseignement au Cercle Alsacien d’hypnose thérapeutique depuis 2007.
Enseigne l’hypnose thérapeutique à Strasbourg depuis 2009.
Membre fondateur et vice-président de l’institut Milton Erickson de Strasbourg – Alsace en 2009.
http://hypnose-ericksonienne.fr/hypnose-ericksonienne/Dr-daniel-quin-vice-president-institut-milton-erickson-strasbourg-67000
Thèse de doctorat en médecine en 1980 sur la maladie de Kawasaki.
Formation en hypnose traditionnelle.
Formation en hypnose Ericksonnienne à l’institut Milton Erickson Méditerrannée de Toulon – Marseille auprès du Dr Meggle Dominique en 2000.
Formation en thérapie brève auprès du Dr Meggle de l’institut Milton Ericksonn Méditerrannée de Toulon – Marseille en 2004. Pratique l’hypnose Ericksonnienne en cabinet médical depuis 2002.
Communications : Intervenant au congrès de Sanary en 2003 ( médaille d’argent de la meilleure communication) Intervenant au congrès de Saint Malo en 2005.
Intervenant au congrès de Quiberon en 2008. Intervenant au congrès de Nantes en 2009.
A présenté « dissociation et neurosciences » au XVIIIème congrès international d’hypnose à Rome en 2009.
Enseignement : Enseigne l’hypnose Ericksonnienne au Groupement Lyonnais d’études médicales depuis 2002.
Participe à l’enseignement au Cercle Alsacien d’hypnose thérapeutique depuis 2007.
Enseigne l’hypnose thérapeutique à Strasbourg depuis 2009.
Membre fondateur et vice-président de l’institut Milton Erickson de Strasbourg – Alsace en 2009.
http://hypnose-ericksonienne.fr/hypnose-ericksonienne/Dr-daniel-quin-vice-president-institut-milton-erickson-strasbourg-67000