Le jeune patient qui développe une addiction au cannabis, s’y enferme d’avantage chaque fois qu’il s’y réfugie !
Le plus souvent il découvre le produit en voulant « faire comme les autres », quel qu’en soient le prix et les risques encourus.
Par son comportement initiatique et ordalique, il tente alors de s’identifier au groupe des adultes, tout en recherchant l’accès au plaisir immédiat.
Mais dans une approche plus systémique, cette consommation de cannabis tente probablement d’atténuer le mal être de l’adolescent, face à son désir d’autonomisation dans un environnement dont il demeure naturellement encore dépendant.
Parfois, l’entourage familial, scolaire, associatif et social (avec ses normes morales, philosophiques etc.), peut en effet freiner sans le désirer et sans le percevoir, la construction de la personnalité du jeune adulte.
Certes, le cannabis peut agir comme anxiolytique, anesthésiant de la pensée, stabilisateur de l’humeur (limitant les grands accès de colère et les mouvements dépressifs).
Mais ce gel de la pensée devient une véritable hibernation de l’imagination et de la mémoire de fixation limitant ainsi les capacités de compréhension du patient. Cet handicap majore l’isolement du jeune patient et génère une angoisse, (aggravée par des épisodes paranoïaques fréquents).
L’hypnose va aider le patient à s’installer face à nous, et réinvestir sa propre présence.
Ce temps où il se réapproprie l’instant comme un espace d’existence (sans produit), va lui permettre de communiquer de nouveau, protégé des émotions les plus violentes par ce paravent hypnotique.
Il recouvre la possibilité de penser plus en paix avec lui-même.
Cette réinstallation dans le présent permet alors au patient de prétendre à grandir « normalement » , pour devenir adulte . A l’aide d’enregistrements vidéos, nous expliquerons comment l’hypnose fait fonction de véritable passerelle entre l’hibernation dans le cannabis et le retour dans le présent, sécurisant en partie les abords de la route qui conduit vers l’âge adulte.
Le plus souvent il découvre le produit en voulant « faire comme les autres », quel qu’en soient le prix et les risques encourus.
Par son comportement initiatique et ordalique, il tente alors de s’identifier au groupe des adultes, tout en recherchant l’accès au plaisir immédiat.
Mais dans une approche plus systémique, cette consommation de cannabis tente probablement d’atténuer le mal être de l’adolescent, face à son désir d’autonomisation dans un environnement dont il demeure naturellement encore dépendant.
Parfois, l’entourage familial, scolaire, associatif et social (avec ses normes morales, philosophiques etc.), peut en effet freiner sans le désirer et sans le percevoir, la construction de la personnalité du jeune adulte.
Certes, le cannabis peut agir comme anxiolytique, anesthésiant de la pensée, stabilisateur de l’humeur (limitant les grands accès de colère et les mouvements dépressifs).
Mais ce gel de la pensée devient une véritable hibernation de l’imagination et de la mémoire de fixation limitant ainsi les capacités de compréhension du patient. Cet handicap majore l’isolement du jeune patient et génère une angoisse, (aggravée par des épisodes paranoïaques fréquents).
L’hypnose va aider le patient à s’installer face à nous, et réinvestir sa propre présence.
Ce temps où il se réapproprie l’instant comme un espace d’existence (sans produit), va lui permettre de communiquer de nouveau, protégé des émotions les plus violentes par ce paravent hypnotique.
Il recouvre la possibilité de penser plus en paix avec lui-même.
Cette réinstallation dans le présent permet alors au patient de prétendre à grandir « normalement » , pour devenir adulte . A l’aide d’enregistrements vidéos, nous expliquerons comment l’hypnose fait fonction de véritable passerelle entre l’hibernation dans le cannabis et le retour dans le présent, sécurisant en partie les abords de la route qui conduit vers l’âge adulte.
Curriculum Vitae :
Dr Pascal Vesproumis
- Spécialiste en médecine générale
- Maître de stage des universités (université de Rennes)
- Médecin coordinateur du CSAPA (centre de soins d’accompagnement en addictologie) à Saint-Brieuc
- Membre de la société française d’alcoologie (S.F.A)
- Membre de l’AFEHM (association pour la formation et l’exercice de l’hypnose.)
- Référencé comme hypnothérapeute dans la prise en charge des addictions (pour le centre « Emergences » de Rennes)
Article sur hypnose et addictologie :
Gérard Ostermann et Pascal VEsproumis
Psycho-media, numéro mai –juin 2012
Dr Pascal Vesproumis
- Spécialiste en médecine générale
- Maître de stage des universités (université de Rennes)
- Médecin coordinateur du CSAPA (centre de soins d’accompagnement en addictologie) à Saint-Brieuc
- Membre de la société française d’alcoologie (S.F.A)
- Membre de l’AFEHM (association pour la formation et l’exercice de l’hypnose.)
- Référencé comme hypnothérapeute dans la prise en charge des addictions (pour le centre « Emergences » de Rennes)
Article sur hypnose et addictologie :
Gérard Ostermann et Pascal VEsproumis
Psycho-media, numéro mai –juin 2012
Masterclass exceptionnelle de Pascal VESPROUMIS à Paris: Hypnose, EMDR et Addictions
Le CHTIP Collège Hypnose Thérapies Intégratives Paris en association avec l'Institut In-Dolore et Hypnotim de Laurence ADJADJ, ont le plaisir de recevoir Pascal VESPROUMIS pour une Masterclass de 2 jours à Paris les 22 et 23 Janvier 2024, sur Hypnose, EMDR - IMO, Tabac et autres Addictions: Pourquoi, comment et avec qui ?
Consultez le programme de cette formation sur https://in-dolore.fr/hypnose-tabac-et-autres-addictions/ ou sur notre catalogue de formations
Le Dr Pascal Vesproumis, médecin addictologue à Annecy et Evry, Membre de France EMDR-IMO ®
Pour les formations sur Annecy ou les supervisions en visio, rdv sur le site de l'ACCH
Consultez le programme de cette formation sur https://in-dolore.fr/hypnose-tabac-et-autres-addictions/ ou sur notre catalogue de formations
Le Dr Pascal Vesproumis, médecin addictologue à Annecy et Evry, Membre de France EMDR-IMO ®
Pour les formations sur Annecy ou les supervisions en visio, rdv sur le site de l'ACCH