Les recherches en neurosciences démontrent de mieux en mieux combien notre façon de prêter attention et l’objet de notre attention (focus) influencent le développement continu de notre cerveau et partant, notre capacité d’adaptation. La pleine conscience nous enseigne à mieux diriger notre attention. Apprendre à devenir pleinement réceptif à l'expérience du moment présent peut nous aider à accepter les choses comme elles sont, à nous dégager de notre "nous-même", à nous ouvrir à la richesse du moment présent et à interagir plus librement et habilement avec notre entourage (Ronald Siegel). Si ces apprentissages sont avantageux pour un thérapeute, ils le sont bien sûr aussi pour les clients! Il n'est donc pas surprenant que de plus en plus, la pleine conscience soit intégrée à la médecine (John Kabbat Zin) et à la psychothérapie (Steven C. Hayes et Ronald Siegel) entre autres, dans le traitement de l'anxiété, de la dépression et du trouble déficitaire de l'attention.
"Ta concentration définit la réalité” Star Wars, Épisode I : La menace fantôme
La pleine conscience est un outil intéressant dans le travail avec les enfants hyperactifs, anxieux et impulsifs. Mais comment obtenir d’un enfant hyperactif qu’il se concentre sur sa respiration, ne serait-ce que pour quelques secondes? Le thérapeute peut facilement se buter à un manque d’intérêt flagrant. “Pourquoi m’asseoir et me calmer?” Comme souvent avec les enfants, je crois que la réponse se trouve dans le jeu. Pour aider un enfant à accorder une place à la pleine conscience dans son univers, il est important de s’inspirer de ses intérêts. Le thérapeute doit alors faire appel à sa créativité. Par exemple, il pourrait proposer à l'enfant de jouer au Jedi, ce fameux personnage de Star Wars, et ainsi transformer l’exercice de pleine conscience en entraînement à la mission du Jedi. Un thérapeute serait en droit de croire à la réussite de son intervention s’il entend l’enfant clamer: «Maman, je suis en train de m’entraîner comme les Jedis!» Dans cet atelier, je vous propose des manières d’intégrer la pleine conscience à la psychothérapie avec les enfants et de développer des exercices motivants pour eux. À l’aide d’une brève révision théorique, de présentations de cas cliniques et d’exercices, j’espère vous aider à découvrir des façons «cool» d’encourager les enfants à explorer plus profondément leur univers intérieur et extérieur. De plus, cet atelier vous permettra peut-être de découvrir en vous des ressources encore inconnues…
"Ta concentration définit la réalité” Star Wars, Épisode I : La menace fantôme
La pleine conscience est un outil intéressant dans le travail avec les enfants hyperactifs, anxieux et impulsifs. Mais comment obtenir d’un enfant hyperactif qu’il se concentre sur sa respiration, ne serait-ce que pour quelques secondes? Le thérapeute peut facilement se buter à un manque d’intérêt flagrant. “Pourquoi m’asseoir et me calmer?” Comme souvent avec les enfants, je crois que la réponse se trouve dans le jeu. Pour aider un enfant à accorder une place à la pleine conscience dans son univers, il est important de s’inspirer de ses intérêts. Le thérapeute doit alors faire appel à sa créativité. Par exemple, il pourrait proposer à l'enfant de jouer au Jedi, ce fameux personnage de Star Wars, et ainsi transformer l’exercice de pleine conscience en entraînement à la mission du Jedi. Un thérapeute serait en droit de croire à la réussite de son intervention s’il entend l’enfant clamer: «Maman, je suis en train de m’entraîner comme les Jedis!» Dans cet atelier, je vous propose des manières d’intégrer la pleine conscience à la psychothérapie avec les enfants et de développer des exercices motivants pour eux. À l’aide d’une brève révision théorique, de présentations de cas cliniques et d’exercices, j’espère vous aider à découvrir des façons «cool» d’encourager les enfants à explorer plus profondément leur univers intérieur et extérieur. De plus, cet atelier vous permettra peut-être de découvrir en vous des ressources encore inconnues…
FORMATION ACADÉMIQUE
Maîtrise ès sciences spécialisée en psychologie, promotion 1988-1991, Université de Montréal.
Baccalauréat ès sciences spécialisé en psychologie, promotion 1985-1988, Université de Montréal.
Mineur en arts et sciences spécialisé en psychologie et en linguistique, promotion 1984-1985, Université de Montréal.
TITRE DU MÉMOIRE DE MAÎTRISE
Comparaison des processus perceptifs menant à la reconnaissance des visages et à celie des formes géométriques.
AFFILIATIONS PROFESSIONNELLES
Membre de I'ordre des psychologues du Québec.
Présidente de l’Institut Milton Erickson de l'Outaouais (affilié à la fondation Milton H. Erickson, Phoenix, Arizona) de 2007 à 2009.
Membre du conseil d’administration de l’Institut Milton H. Erickson du Québec, de 2011 à maintenant.
Maîtrise ès sciences spécialisée en psychologie, promotion 1988-1991, Université de Montréal.
Baccalauréat ès sciences spécialisé en psychologie, promotion 1985-1988, Université de Montréal.
Mineur en arts et sciences spécialisé en psychologie et en linguistique, promotion 1984-1985, Université de Montréal.
TITRE DU MÉMOIRE DE MAÎTRISE
Comparaison des processus perceptifs menant à la reconnaissance des visages et à celie des formes géométriques.
AFFILIATIONS PROFESSIONNELLES
Membre de I'ordre des psychologues du Québec.
Présidente de l’Institut Milton Erickson de l'Outaouais (affilié à la fondation Milton H. Erickson, Phoenix, Arizona) de 2007 à 2009.
Membre du conseil d’administration de l’Institut Milton H. Erickson du Québec, de 2011 à maintenant.