J’ai assisté récemment à la première partie de la formation hypnose, anesthésie et douleur aiguë, formation que j’ai suivie il y a plus de dix ans.
Evidemment, les notions présentées me sont connues, mais je constate une grande discordance entre l’installation ici et maintenant, le VAKO tel qu’ils sont expliqués et ma pratique réelle. Il est vrai qu’actuellement je n’ai plus l’occasion de pratiquer des hypnoanalgésies pour des interventions chirurgicales, mais uniquement un accompagnement lors de la réalisation d’anesthésies locorégionales, de péridurale ou avant une anesthésie générale mais je me contente souvent d’évocation d’un “lieu sur” en restant dans le flou ou de confusion, de confusion et de confusion. J’utilise sans retenue un langage dissociatif, mais j’ai oublié l’importance du confort, même si les patients sont satisfaits quand je les évalue.
Même si j’utilise l’installation ici et maintenant et le VAKO lors de consultation de douleur chronique, je suis tellement obnubilé par la construction de métaphores ou la recherche d’objectif réaliste que j’en oublie aussi l’importance du confort.
A force de vouloir réaliser le plus difficile, j’en ai oublié le plus simple. Cet évènement me pousse vers un retour aux sources, sans pour autant jeter les éléments issus de mes formations complémentaires. Il est évident que pour la réalisation d’actes techniques de courte durée comme la pose de péridurale en obstétrique, je ne vais pas vraiment modifier ma technique actuelle simple et rapide avec laquelle j’obtiens de bons résultats, mais dans d’autres situations je pense qu’il est souhaitable que je me remette en question.
L’autre motif me poussant dans cette démarche est plus simple : ne pas donner de mauvais exemple aux différentes personnes de mon établissement actuellement en formation. Ce résultat est vraisemblablement secondaire à une pratique quasi solitaire et mon peu de participation à des supervisions.
Evidemment, les notions présentées me sont connues, mais je constate une grande discordance entre l’installation ici et maintenant, le VAKO tel qu’ils sont expliqués et ma pratique réelle. Il est vrai qu’actuellement je n’ai plus l’occasion de pratiquer des hypnoanalgésies pour des interventions chirurgicales, mais uniquement un accompagnement lors de la réalisation d’anesthésies locorégionales, de péridurale ou avant une anesthésie générale mais je me contente souvent d’évocation d’un “lieu sur” en restant dans le flou ou de confusion, de confusion et de confusion. J’utilise sans retenue un langage dissociatif, mais j’ai oublié l’importance du confort, même si les patients sont satisfaits quand je les évalue.
Même si j’utilise l’installation ici et maintenant et le VAKO lors de consultation de douleur chronique, je suis tellement obnubilé par la construction de métaphores ou la recherche d’objectif réaliste que j’en oublie aussi l’importance du confort.
A force de vouloir réaliser le plus difficile, j’en ai oublié le plus simple. Cet évènement me pousse vers un retour aux sources, sans pour autant jeter les éléments issus de mes formations complémentaires. Il est évident que pour la réalisation d’actes techniques de courte durée comme la pose de péridurale en obstétrique, je ne vais pas vraiment modifier ma technique actuelle simple et rapide avec laquelle j’obtiens de bons résultats, mais dans d’autres situations je pense qu’il est souhaitable que je me remette en question.
L’autre motif me poussant dans cette démarche est plus simple : ne pas donner de mauvais exemple aux différentes personnes de mon établissement actuellement en formation. Ce résultat est vraisemblablement secondaire à une pratique quasi solitaire et mon peu de participation à des supervisions.