La dépression peut être vue de différentes manières, sous des angles différents, il peut en être donné des interprétations différentes.
Ainsi un simple observateur pourrait parler de manque de dynamisme, d’apathie, d’une perte du goût des choses ; du point de vue neurophysiologique, il s’agirait d’un problème de sérotonine ou de dopamine ; un ostéopathe considérerait peut-être que l’énergie ne circule pas librement ou au bon rythme sur l’axe cranio-sacré ; un psychanalyste freudien envisagerait un conflit intrapsychique trouvant son origine dans la petite enfance du sujet ; autant de visions différentes et pourquoi pas complémentaires.
Et s’il s’agissait d’un soupir du Soi, un Soi qui ne parviendrait pas à s’épanouir, telle une fleur restée en bouton qui pourrait se dessécher peu à peu.
Et si la dépression était un appel de la profondeur, de cette partie qui réclame d’être prise en considération.
Dans la pensée jungienne, le Soi – structure inconsciente du psychisme – est l’archétype, la potentialité innée de devenir un être humain complet. Du Soi émane une puissante énergie poussant à l’accomplissement de la personne afin qu’elle devienne pleinement le sujet de sa propre vie.
Et si notre rôle de thérapeute était alors de permettre qu’à nouveau cette énergie circule, que les potentialités de l’être se révèlent et s’expriment, autorisant ainsi l’éclosion tant attendue…
Objectifs pédagogiques
1. Découvrir une autre approche de la dépression
2. Aborder les similitudes entre la vision éricksonienne et la vision jungienne
3. Envisager la dépression comme un passage
Retrouvez tous les participants au Congrès Hypnose Depressions et Thérapies Alternatives
Sylvie Bellaud-Caro www.hypnose-ericksonienne-paris.fr
Ainsi un simple observateur pourrait parler de manque de dynamisme, d’apathie, d’une perte du goût des choses ; du point de vue neurophysiologique, il s’agirait d’un problème de sérotonine ou de dopamine ; un ostéopathe considérerait peut-être que l’énergie ne circule pas librement ou au bon rythme sur l’axe cranio-sacré ; un psychanalyste freudien envisagerait un conflit intrapsychique trouvant son origine dans la petite enfance du sujet ; autant de visions différentes et pourquoi pas complémentaires.
Et s’il s’agissait d’un soupir du Soi, un Soi qui ne parviendrait pas à s’épanouir, telle une fleur restée en bouton qui pourrait se dessécher peu à peu.
Et si la dépression était un appel de la profondeur, de cette partie qui réclame d’être prise en considération.
Dans la pensée jungienne, le Soi – structure inconsciente du psychisme – est l’archétype, la potentialité innée de devenir un être humain complet. Du Soi émane une puissante énergie poussant à l’accomplissement de la personne afin qu’elle devienne pleinement le sujet de sa propre vie.
Et si notre rôle de thérapeute était alors de permettre qu’à nouveau cette énergie circule, que les potentialités de l’être se révèlent et s’expriment, autorisant ainsi l’éclosion tant attendue…
Objectifs pédagogiques
1. Découvrir une autre approche de la dépression
2. Aborder les similitudes entre la vision éricksonienne et la vision jungienne
3. Envisager la dépression comme un passage
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Sylvie Bellaud-Caro www.hypnose-ericksonienne-paris.fr