Avez-vous déjà tenté de répertorier le nombre de recherches et de livres qui ont été écrits sur le burnout et la dépression ? Seulement dans les quatre dernières années, ce sont des centaines de milliers, en langue anglaise seulement ! Vous n’êtes donc pas seul à vous intéresser au sujet.
Ces écrits nous apprennent, par exemple, que la dépression joue un rôle dans de nombreuses maladies, et en particulier les aggravent lorsque celles-ci se sont déclarées. Plusieurs chirurgiens refusent même de pratiquer une chirurgie sur des patients très dépressifs : leur état mental constitue un facteur de risque plus important que leur état physique.
On sait aussi que le burnout et la dépression affectent des millions de gens chaque année, de tout âge, nationalités et classes socio-économiques. Jusqu’à 5 pour 100 de la population en est atteinte – deux fois plus de femmes que d’hommes, et ceux nés après 1940 davantage que leurs aînés.
Les jeunes ne sont pas épargnés ; un enfant sur 20 et un ado sur 6 souffrent de symptômes dépressifs alors qu’ils étaient presque nuls dans ces deux dernières catégories il n’y a pas si longtemps. Malgré la myriade d’informations disponibles sur le sujet, ces problématiques demeurent un défi d’envergure pour tout thérapeute.
La plupart de la documentation disponible porte sur des données théoriques, des statistiques reliées à tel ou tel autre type d’interventions. Rares sont les livres, qui nous donnent des solutions applicables immédiatement et aucun, au meilleur de mes connaissances, n’offre d’étapes hiérarchiques claires permettant tant à l’aidant qu’à l’aidé d’être centrés sur le présent et de se créditer des petites victoires le long du parcours.
Cette stratégie favorise pourtant l’établissement d’objectifs réalistes et encourage le client dans son processus.
La formation sur le burnout et la dépression offre autre chose que les dernières données statistiques, épidémiologiques, neurologiques ou biochimiques. Elle se veut plutôt la plus pratique possible, basée sur l’intervention concrète et applicable tant par les professionnels que les néophytes.
Ces écrits nous apprennent, par exemple, que la dépression joue un rôle dans de nombreuses maladies, et en particulier les aggravent lorsque celles-ci se sont déclarées. Plusieurs chirurgiens refusent même de pratiquer une chirurgie sur des patients très dépressifs : leur état mental constitue un facteur de risque plus important que leur état physique.
On sait aussi que le burnout et la dépression affectent des millions de gens chaque année, de tout âge, nationalités et classes socio-économiques. Jusqu’à 5 pour 100 de la population en est atteinte – deux fois plus de femmes que d’hommes, et ceux nés après 1940 davantage que leurs aînés.
Les jeunes ne sont pas épargnés ; un enfant sur 20 et un ado sur 6 souffrent de symptômes dépressifs alors qu’ils étaient presque nuls dans ces deux dernières catégories il n’y a pas si longtemps. Malgré la myriade d’informations disponibles sur le sujet, ces problématiques demeurent un défi d’envergure pour tout thérapeute.
La plupart de la documentation disponible porte sur des données théoriques, des statistiques reliées à tel ou tel autre type d’interventions. Rares sont les livres, qui nous donnent des solutions applicables immédiatement et aucun, au meilleur de mes connaissances, n’offre d’étapes hiérarchiques claires permettant tant à l’aidant qu’à l’aidé d’être centrés sur le présent et de se créditer des petites victoires le long du parcours.
Cette stratégie favorise pourtant l’établissement d’objectifs réalistes et encourage le client dans son processus.
La formation sur le burnout et la dépression offre autre chose que les dernières données statistiques, épidémiologiques, neurologiques ou biochimiques. Elle se veut plutôt la plus pratique possible, basée sur l’intervention concrète et applicable tant par les professionnels que les néophytes.