Médecin anesthésiste depuis de nombreuses années, mon cheminement de président du CLUD (Comité de LUtte contre la Douleur) m’a amené à me former à l’hypnose il y a une dizaine d’années, puis m’a conduit à l’acupuncture.
Mon terrain d’expérimentation a naturellement été mes proches : ma famille, mes amis et mes collègues de travail. Ces derniers venaient régulièrement vers moi pour des céphalées, des troubles du sommeil, des lombalgies ou des scapulalgies. Le dénominateur commun de toutes ces pathologies est souvent l’expression corporelle d’un malaise professionnel.
De par l’hypnose, le problème du burn-out a été maintes fois soulevé. Il a été prouvé que la pratique régulière de l’auto-hypnose contribue à la prévention du burn-out. Le principe est de faire appel à notre esprit inconscient, qui est notre système « d’auto-homéostasie » tant physique que psychique et notre espace d’apprentissage de ressources et de solution à nos problèmes.
Le propos est maintenant de voir comment l’acupuncture peut contribuer à la prévention ou à la prise en charge du burn-out des soignants. Hormis quelques spécificités, ce propos peut bien entendu être étendu à l’ensemble des soignants.
Mon terrain d’expérimentation a naturellement été mes proches : ma famille, mes amis et mes collègues de travail. Ces derniers venaient régulièrement vers moi pour des céphalées, des troubles du sommeil, des lombalgies ou des scapulalgies. Le dénominateur commun de toutes ces pathologies est souvent l’expression corporelle d’un malaise professionnel.
De par l’hypnose, le problème du burn-out a été maintes fois soulevé. Il a été prouvé que la pratique régulière de l’auto-hypnose contribue à la prévention du burn-out. Le principe est de faire appel à notre esprit inconscient, qui est notre système « d’auto-homéostasie » tant physique que psychique et notre espace d’apprentissage de ressources et de solution à nos problèmes.
Le propos est maintenant de voir comment l’acupuncture peut contribuer à la prévention ou à la prise en charge du burn-out des soignants. Hormis quelques spécificités, ce propos peut bien entendu être étendu à l’ensemble des soignants.